Il y a peu de temps, nous avons du tourner une petite vidéo pour un site partenaire qui propose nos modèles de sacs, pochettes en cuir et accessoires à des boutiques. L’idée était de nous présenter auprès des futures boutiques qui souhaitent distribuer nos produits. Et je vous avoue que le tournage de cette vidéo a été sacrément drôle et on en gardera un joli souvenir.

Pour sortir un peu des interviews de présentation de marques classiques, nous avons décidé de répondre à des questions à la « Konbini ». Une question, le plus souvent fermée pour une réponse qui devait être rapide (pas évident avec notre blondinette qui se prend au jeu et qui a la tchache !)

Les questions étaient orientées pour que l’on se présente, que l’on présente la marque et son fonctionnement, mais aussi les produits.

Nous avons donc avoué nos âges (non, je n’ai plus 22 ans…), nos origines rurales ( et oui nous sommes lozériennes et fières !), nous avons expliqué pourquoi nous avons renoncé à un Made in France (le cuir de nos modèles est italien, et la façon est réalisée par notre fabricant portugais en qui nous avons totalement confiance et que l’on remercie pour son écoute, sa réactivité et la qualité de son travail).

Nous expliquons la répartition des tâches dans une petite entreprise comme Ripauste.

Et enfin nous parlons de nos coups de cœur, de nos coloris et modèles favoris (évidemment nous ne sommes pas d’accord !)

La vidéo est faite maison, et ça a donné de sacrés fous rires ! Je ne sais pas si vous avez déjà réalisé ce type d’ exercice, mais c’est très dur de se voir et de s’entendre !!! On se rend compte de nos mimiques, de nos postures pas toujours féminines, et puis bien sur, nos langues fourches, on bégaye, et là c’est foutu !!! On était presque au bout mais on a commencé à rire, à butter sur une question, et voilà plus possible de se regarder l’une et l’autre au risque de rire à nouveau… Ça fait du bien de se lâcher parfois, de rire à en pleurer ! Bref, on s’est bien marrées !

Si vous voulez voir l’interview, c’est par là :

Et parce que je ne m’en lasse pas :